Ep 4 : Premiers jours.

Une semaine de convalescence est passé dans l’Hopital Lapeyronie. Jadina était habillé d’une veste noire avec un dessous blanc, un pantalon brun impersonnel et des chaussures noires. Son apparence corporelle s’est beaucoup améliorée. Ses cheveux verts sont devenus plus noirs tandis que son joyau frontal a pris une teinte plus verte. Ses veines noires ressortant de sa peau sont beaucoup moins présentes et se limitent désormais à ses membres. Elle s’est complètement remise niveau santé. Seulement, son caractère reste impersonnel et sans émotions.

Elle se trouvait dans le bureau du Docteur Tyros avec la famille Marcus, tenant fermement un sac qui avait son précieux livre d’histoire de France. Un hobby qui lui était devenue vital au fil du temps pour ne perdre le nord.

Docteur Tyros : « On peut dire que tu as été guérie, Jade. Tu as une santé exceptionnelle. »

Jadina : « Merci. »

Docteur Tyros : « Je vois que vous prendrez soin de cette fille. »

Jean : « Oui. C’est hors de question d’abandonner Jade à son sort. »

Charles : « Après tout ce qu’elle a traversée. Je veux faire de mon mieux pour être un frère exemplaire. »

Docteur Tyros : « Bon, passons aux choses sérieuses. Jade, ton état de santé et ton anatomie est une chose qui m’a surprise et intriguée. Bien sûr, je ne cautionne absolument pas les expériences faites sur toi si ce corps que tu possèdes n’est pas réellement le tien. Mais les réactions de certains médicaments sur ton corps m’a fait poser des questions et je viens avec celle-ci : Est-ce que tu serais prête à avoir des tests d’observations ? »

Jadina : « Où voulez-vous en venir ? »

Docteur Tyros : « Ce n’est pas pour des expériences mais pour comprendre ton état de santé. Depuis ta venue, je suis devenue ton médecin traitant et ma priorité est de veiller sur son état de santé. Or ton anatomie unique risque de bloquer sur le traitement de certaines maladies. Est-ce que tu serais prête à le faire ? »

Jadina : « Hm… Non, du moins pas pour le moment. »

Docteur Tyros : « Je vois… Mais n’oublie pas Jade : Tu peux changer d’avis à tout instant. »

Jadina : « Merci. »

Docteur Tyros : « C’est tout pour aujourd’hui. Prenez soin de vous, les Marcus. Prends soin de toi, Jade. »

La famille sort du bureau, sort de l’Hôpital pour arriver vers le parking de voitures. Jadina observa curieusement et nerveusement les véhicules car les ayant aperçus depuis sa fenêtre de sa chambre.

Le père sortit un objet de sa poche avec une clé et appuya sur un bouton. Une voiture rouge d’apparence banale clignota avec ses phares et la famille ouvrit les portes avant de s’y mettre.

Jean : « Eh bien, Jade ? Tu as peur des voitures ? »

Jadina : « Je… Je… Je ne suis jamais monté dedans. »

Martha : « Tu ne sais même pas ce que c’est qu’une voiture ? »

Jadina : « N… Non. »

Julia : « Combien de temps as-tu passé dans cette secte ? »

Jadina : « Trop de temps. »

Elle finit par entrer dans la voiture pour s’assoir au milieu de la voiture, suivit par Charles. Le père alluma la voiture. Les tremblements ressentis par la jeune fille l’oppressaient et celle-ci se baissa. Charles l’enlaça dans ses bras pour la rassurer.

Charles : « Ce n’est rien, Jade. La voiture est comme ça. Tu t’y habitueras. »

Jadina : « …Je déteste ça… »

Julia : « La première fois c’est toujours difficile mais finalement on s’y habitue vite. »

Ils traversèrent les avenues de la petite ville puis arrivèrent vers le quartier aisé de Saint-Jean de Vedas. Ils arrivèrent devant leur maison blanche avec un grand toit rouge et leur jardin d’entrée assez sommaire. Ils descendirent de la voiture et emportèrent la jeune fille vers leur maison. Ils enlevèrent les chaussures avant de les prendre. L’intérieur était une petite entrée avec un bac à chaussures dont ils rangèrent les leurs, le salon était simple avec une salle à manger sur le côté tandis les plats sont rangés sur une armoire sur la droite. A gauche se trouvait la cuisine tandis qu’au fond se trouve un bien étrange appareil que Jadina n’avait jamais vu. Un écran noir et plat.

Jadina : « C’est petit… »

Julia : « Mais c’est confortable. »

Jadina : « Merci… »

Martha : « Viens donc dans ma chambre. »

Jadina : « Pourquoi ? »

Martha : « Tu n’as pas de vêtements du coup je t’en prêterais. J’ai l’intention de t’en montrer. »

Julia : « Pas si vite Martha. Je vais lui montrer le salon. Chaque chose en son temps… »

Jadina se dirigea vers la cuisine et observa de manière fixe le gigantesque frigo gris face à elle.

Julia : « Qu’y-a-t-il ? »

Jadina : « Qu’est-ce donc ? A quoi ça sert ? »

Charles : « Tu ne sais pas ce qu’est un frigo ? »

Jadina : « Un quoi ? »

Martha : « Un frigo… Un frigo qui refroidit la nourriture et la conserve. »

Jadina : « Je ne savais pas… »

Charles : « Vraiment ? Tu ne savais pas ce qu’est un frigo ? »

Jadina : « Non… »

Les membres de la famille se regardèrent entre eux de manière inquiète.

Jadina (pensée) : « Rien que le fait que je ne sais pas ce qu’est un frigo les rends nerveux… Plus le temps passe, moins je comprends ce monde. Ils sont si inquiets pour moi… Que faire ? »

Julia s’approcha de Jadina, le visage à la fois formel et doux.

Julia : « Dis-moi, qu’est-ce que tu ne connais pas ? Quel sont les objets qui te sont étrangers ? »

Jadina : « Hmm… »

Elle montra l’écran noir qui lui faisait défaut.

Julia : « La télévision ? »

Jadina : « A quoi ça sert ? »

Julia : « Hm… Comment dire. Tu peux prendre des nouvelles avec. Tiens regarde… »

Elle prend une boite avec plein de boutons et appuya avec son doigt libre. La télé se teinta de couleurs et un journaliste en costard apparu soudainement, racontant les dernières nouvelles. Jadina sursauta face à l’image qui apparut.

Jadina : « Mais… Mais… Mais comment ? »

Julia : « Cet commande permet d’allumer la machine qu’on appelle la télévision. On prend en image l’homme qui parle des derniers potins puis ces images sont diffusés vers les écrans de tous les domiciles. C’est un moyen beaucoup plus pratique que les rumeurs orales ou les journeaux. »

Jadina : « Je vois… »

Elle comprit que cet écran montrait des informations vitales pour cette ‘République’ en temps réel. A Orchidia, il n’y avait qu’un seul journal et c’était la Gazette de l’Orchidée, le journal officiel du royaume. Une petite révolution possible grâce aux pouvoirs du Jade de Gaméragashé qui actionnait les gigantesques imprimeries de la Cité. Mais là, cette civilisation est allée beaucoup plus loin car elle démocratisé l’utilisation des pierres de visions en forme d’écrans pour le plus grand monde. Mais qu’elle sorte de magie avaient-il pour maintenir tout ça ?

Julia : « Tu veux savoir autre chose ? »

Jadina : « Oui… Ceci… »

Elle montra les plaques chauffantes de la cuisine. Julia montra les boutons tournants tout en expliquant.

Julia : « Ces plaques chauffantes permettent de cuire la nourriture. »

Jadina : « Elles fonctionnent avec quoi ? »

Julia : « L’électricité. L’énergie qui alimente tous les appareils de la maison, y compris les radiateurs jusqu’au ampoules. »

Jadina : « Merci. Je veux m’arrêter là. »

Martha : « Monte maintenant avec moi. »

Jadina : « Je viens. »

Les deux filles montent dans l’étage. Jadina en arrivant à l’étage vit trois chambres sur la gauche et une petite salle de bain sur la droite ainsi que des latrines à gauche de la salle de bain.

Martha ouvrit la seconde porte sur la gauche et révéla une chambre assez grande avec un lit assez grand. Il avait des posters avec des personnages aux faciès expressifs aux grands yeux, portant des costumes bien extravagants pour Jadina. En-dessous, fut marqué des mots comme « Naruto » ou « Demon Slayer ». Aussi, il avait une armoire sur le côté et face au lit. Une fenêtre située donnait sur le jardin de derrière qui avait un arbre en fleurs, un champ de fleurs et un potager. Un bureau était présent avec un petit écran noir comme la télé d’en bas. Une bibliothèque remplit de petits livres dessinés comme les posters et un autre rempli de sortes de cahier d’enseignement, assez similaire que ceux que donnait Vangelis à Jadina.

(Note : Martha est fan de manga tout comme son frère).

Martha : « Oui. Je suis fan de Demon Slayer et Naruto. »

Jadina : « ‘Connais pas. »

Martha : « Tu sauras bientôt. »

Elle ouvrit l’armoire et sortit des vêtements avant de les déposer sur son lit.

Martha : « Vois ces vêtements. Ils sont un peu grands car j’ai 16 ans et tu en l’air d’en avoir 12. Surtout qu’on s’est débarrassé des anciens. Mais je crois que ça va pour l’instant. »

Jadina : « Hm… »

Elle vit des vêtements qui était décorés des personnages facétieux tandis que d’autres étaient plus neutres. Elle décida de prendre une chemise blanche, un pantalon noir et des chaussettes blanches.

Martha : « Ok pour les vêtements. Maintenant, pour le pyjama. »

Elle sortit des pyjamas verts, rouges et bleus. Jadina choisit un bleu.

Martha : « Voilà. T’en penses quoi ? »

Jadina : « Rien. »

Martha : « Bon, je te laisse. Tu dois sûrement te familiariser avec les lieux. Je te laisse, je vais aller voir en bas avec les parents. »

Jadina : « Bien. »

Martha de la chambre et Jadina s’assoit sur le lit avant de se coucher dessus. Elle regarda le plafond puis la grande fenêtre qui donnait sur le petit jardin. Elle pouvait entendre les oiseaux gazouiller sur l’arbre.

Cette atmosphère était si tranquille, si paisible. Jadina ne s’est jamais sentie aussi relaxée de sa vie. Elle pouvait voir le silence, rien ne se passait. Elle restait toujours sur ses gardes car Alysia était un monde dangereux et imprévisible. Est-ce que l’absence de magie favorisait-il autant la paix et la prospérité ? Pas de Sorcier, pas de mages, rien de tout ça. Juste des hommes qui n’avaient que leurs mains pour tout bâtir. Mais alors… comment ils ont maitrisé l’éclair des orages ? Est-ce de la magie ou pas ? La jeune fille se sent de plus en plus fatiguée tant la béatitude l’envahissait lentement. Puis elle s’enfonça dans la sieste.

Jadina (pensées) : « C’est tellement chaud ici… »

Martha revint quelques minutes plus tard.

Martha : « Alors, Jade. Comment ça se pa… ? »

Elle vit Jadina en train de dormir. Elle fut surprise avant de sourire légèrement avant de refermer la porte.

Quelques heures plus tard… la nuit était tombée et Martha habillée de son pyjama bleu coucha Jadina à gauche de son lit avant de se mettre dans sa propre partie du lit. Après s’être couchée, Martha sentit quelque chose l’enlacer. Elle vit Jadina qui dormait toujours mais qui lui faisait un câlin en plein sommeil. Martha la laissa faire car on dirait bien qu’elle a une petite sœur.

 

Le lendemain…

Jadina se réveilla, vit qu’elle était seule dans la chambre avant descendre du lit. Elle sortit de la chambre et arriva vers la salle de bain. Jadina vit les veines vertes avaient presque disparus de sa peau tandis que ses cheveux verts étaient devenus plus sombres encore. Son joyau frontal quant à lui repris une teinte verte plus claire. Elle tendit sa main et claqua des doigts. Une petite étincelle s’échappa. Jadina échappa un petit sourire voyant que l’Antimag s’échappa de son corps mais son sourire disparu lorsqu’elle se rappela de ce que cela implique.

Elle sentait une pression dans son ventre, une pression pile au niveau de ses uretères.

Jadina : « Oh non… je dois faire pipi. »

Elle sortit et se mit dans les toilettes et tenta de vidanger mais rien ne venait et la pression devint douloureuse.

Jadina : « J’ai des… calculs… à cause… de ce foutu… Antimag ! Aaahh… C’est horrible… »

Elle força toujours plus et des éclairs entourèrent son ventre, la douleur devenait insupportable. Mais la jeune fille continuait malgré la douleur qui était infernale. Elle serra les dents et des larmes commencèrent à couler.

Finalement, ses efforts payèrent car finalement le pipi s’échappait et des morceaux de calculs rénaux tombèrent dans la cuvette. Elle respirait lourdement maintenant qu’elle était soulagée d’un poids et que la douleur s’évaporait. Son corps se débarrassait de l’Antimag de la pire façon possible : l’urine.

Jadina : « Mes reins sont des grelots… C’est horrible… »

Elle ria nerveusement avant que son sourire disparaisse. Elle tire la chasse d’eau (les latrines du palais fonctionnaient du même principe que ceux-ci) avant de sortir des toilettes et de descendre.

Elle vit que seul Julia était présente, en train de nettoyer le sol.

Jadina : « Julia ? »

Julia : « Bonjour Jade. Tout va bien ? »

Jadina : « Oui. Je me sens mieux qu’hier. »

Julia : « Je vois ça… »

Jadina : « Où sont les autres ? »

Julia : « Jean est parti travailler tandis que les deux enfants sont partis au collège. Heureusement, que tu es là. Je me sens un peu seule en ce moment. »

Julia fit signe à Jadina de s’assoir, Jadina obéit. Julia sortit de l’armoire de nourriture des céréales du lait et chocolat en poudre. Elle sortit un bol puis versa du lait dedans, mis la poudre, le mélangea puis mit les céréales. Enfin, elle mit le bol dans le micro-ondes. Elle l’alluma et attendit puis sortit le bol avant de le présenter à Jadina avec une cuillère.

Julia : « Voilà. Cela te remplira le ventre. »

Jadina : « Merci. »

Elle regarda ces choses dans ce lait, c’était bien loin de la soupe qu’on lui servait à la matinée. Elle prit une bouchée et le goût était… loin d’être mauvais.

Julia : « Alors ? »

Jadina : « C’est bon. »

Julia : « Tu n’as pas l’habitude ? »

Jadina : « Non. Au fait… Vous ne travaillez pas ? »

Julia : « Non. Jean est cadre. On a largement de quoi vivre. Je fais la maison pour que tout le monde après une rude journée de travail ait une soirée tranquille. Quand je vois leurs sourires, cela me fait du baume au cœur. N’est-ce pas merveilleux ? »

Jadina : « Oui, pour vous oui. »

La femme gloussa.

Julia : « Bon… Tu veux faire quoi ? »

Jadina : « Euh… je vais rester dans la chambre de Julia. J’en profiterais pour lire quelques-uns de ses livres. »

Julia : « Je vois… si tu as besoin de quelque chose. Tu m’appelles, d’accord ma chérie ? »

Jadina fut frappée en plein cœur par ces mots.

Jadina : « Euh… Oui. »

Julia : « Aussi, tu devrais te doucher et te changer, tu commences à sentir. »

Jadina remonta vers l’étage, prit des vêtements montrés par Martha puis alla dans la douche avant de la prendre après s’être déshabillée. Elle jeta un regard sombre sur son corps qui avait encore des cicatrices des tortures à Orchidia. Sous la pluie d’eau, la jeune fille était plongée dans ses pensées, cette mère de famille était extrêmement douce et attentionnée. Mais Jadina sentait quelque chose en elle, une chaleur. Une chaleur familière…

Jadina : « Non, c’est impossible… »

Des larmes coulèrent dans ses yeux et elle renifla. Elle pleura silencieusement sans comprendre pourquoi.

Jadina (voix cassée) : « Pourquoi… je… pleure… ? Pourquoi ? »

Elle continua de pleurer pendant plusieurs minutes puis se calma. Elle ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait.

Jadina : « Que m’arrive-t-il ? »

Elle éteint la douche et après de l’hésitation avant de se mettre du savon.

 

1 mois plus tard.

Jadina a commencé à vivre avec la famille Marcus. Elle a complètement récupéré. Son joyau est redevenu vert tandis que ses cheveux noirs redevinrent brillants.

Pour ce qui est de son caractère, elle est devenue plus ouverte mais restait silencieuse. Les autres n’en avait pas rigueur. Elle allait régulièrement chez le médecin concernant sa santé et les visites cessèrent finalement quand elle regagna sa pleine forme.

Les précisions de la part de Tyros firent comprendre à Jadina que son corps a été altéré par des gênes de plantes. Sûrement à cause de l’Emeraudia mais cela n’expliquait rien concernant le squelette retrouvé dans Gaméra. Mais elle avait fini par abandonner ces pensées car sa plus grande inquiétude était sa présence sur Terre. Elle en avait beaucoup plus appris sur la Terre et son histoire globale. Bien sûr, elle fut surprise de voir que la magie n’a jamais existé dans ce monde. Les humains d’ici n’avaient que leur intelligence et leurs mains pour fabriquer leur société. Aussi, ils avaient inventé des technologies et armes qui écraserait complètement les plus puissants royaumes d’Alysia (les Guerres Mondiales du 20ème Siècle ont été bien pires que les guerres d’Alysia à tous les niveaux).

Pour ce qui est des Marcus, elle s’est beaucoup plus approchée d’eux car ils ont décidé de prendre soin d’elle.

Mais la crainte la plus grande de la jeune fille fut ses pouvoirs de Gaméragashé. Elle pouvait le cacher bien sûr mais pour combien de temps ? Elle avait du mal à imaginer la réaction de sa famille d’accueil ainsi que du reste du monde.

En-dehors de la crainte, il y avait aussi le désespoir. S’il n’existe pas de magie, il n’y aucun moyen de retourner à Alysia. Dans ses souvenirs flous, Jadina avait bien vu une porte bleue qui l’a aspiré de sa cellule de prison. Mais de toutes manières, si elle pouvait retourner à Alysia… Pourquoi faire ? Elle est persona non grata et désavouée de partout. Elle n’avait plus de famille, ni d’amis à Alysia… Alors mieux vaut cesser d’insister et de se refaire une nouvelle vie.

Si son esprit se refusait à cette perspective, l’idée restait là et ne faisait que prendre que plus d’espace.

 

Un soir, un mois et une semaine après l’arrivée de Jadina chez les Marcus.

Jean : « Jade. Peux-tu venir ici ? »

Jadina : « Oui ? »

Elle s’assoit à table.

Jean : « Julia a beaucoup discuté et je crois qu’il est temps que tu ailles au collège. »

Jadina : « Ha ? »

Jean : « Oui, pour éviter d’être désavantagé par rapport aux autres. Tu devras aller avec les enfants. Ici, le collège privé La Providence. Un collège privé très tranquille en plein centre-ville. »

Elle montra la photo du collège à Jadina.

Jadina (pensées) : « C’est donc cela ma nouvelle vie… loin de tout. C’est… terrible. »

 

 

A suivre… Arrivée au collège.

Jadina est inscrite dans le Collège privé la Providence avec les autres Marcus. Ainsi, elle va apprendre à connaitre à plus connaitre ce monde.