Salut, 

La suite :

Conflits familiaux chapitre 7

PDV Jadina

J’ai qu’une envie, c’est de me débarrasser de ce menteur, de cet hypocrite, abruti de mari. J’aurai toujours dû être avec Halan, la seule vrai personne qui m’a toujours aimer. Je rentre dans la mairie. Il est là, j’ai envie de l’insulter de tous les noms possibles et inimaginables. Mr. Filipop nous amène dans son bureau, je fais un signe d’abord à Halan de venir et comme, il reste de la place, je le fais à Nadia et Aidan. Je me dis que si j’étais rester avec Halan, j’aurai peut- être eu une Nadia moins têtue et un Aidan moins travailleur. Mr. Filipop me tend un crayon et je me dépêche de signer puis, je dis :

‘‘- Pouvons- nous signer le mariage entre Halan et moi ?

- Oui, mais avant, je dois vérifier si le formulaire, que vous avez signer, est correct puis je dois aller chercher le formulaire de mariage.’’

PDV Nadia

Voici la partie la plus périlleuse de mon si beau et parfait plan. Non, j’abuse : mon plan n’est ni beau, ni parfait. Le monsieur au nom bizarre s’enferme dans son bureau. C’est long et stressant. Toutes les 2 secondes, mon frère me regarde, l’air inquiet, comme si il essayais de lire dans mes pensées pour savoir si j’ai préparé un plan. J’ai tellement peur que j’ai envie d’aller dans les bras de maman et de dire « Maman, j’ai peur ! » mais faire cela gâcherai mon joli petit plan. Au bout de longues minutes d’attentes, Mr. Filipop ressort, l’air désolé et sérieux. Il annonce quelque chose :

‘‘- Madame d’Orchidia et monsieur De Sabledoray, votre demande de mariage ne peut pas être acceptée.

- QUOI ? COMMENT ÇA ? Crie ma mère

- Le document que vous venez de signer est un renouvellement de vœux de mariage. Donc, vous êtes toujours mariée et du coup, vous ne pouvez vous remariez.

Aidan me regarde un grand sourire aux lèvres que j’interprète comme un merci et je lui réponds avec un sourire qui veut dire de rien, c’est normal. Je suis tellement absorbée par mon langage de sourire que je ne vois pas ma mère qui arrive vers moi, l’air énervée. Je tourne la tête, les yeux grands ouverts :

- NADIA ! QU’EST CE QUE TU AS FAIT ?

- Alors, pour commencer, arrête de crier, tu me casses les tympans. Et de deux, j’ai seulement sauvé ma famille.

- Comment ça ? Explique toi ! Dit ma mère avec qui j’allais me disputer pour la 100eme fois.

- Cette lettre n’a pas était rédigée par papa.

- Là, tu mens !

- Non, car j’ai vu la personne qui a déposé cette lettre dans son bureau.

- C’est qui ?

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Suite dans le chapitre 8