Alors après beaucoup d’insistance d’une certaine personne j’ai enfin écrit ce que j’avais dans ma tête pour l’historie d’Esprencia. Soyez indulgent j’avais pas écrit depuis un an. Désolé pour les possibles fautes d’orthographe (je me suis dépêcher j’ai plein de devoirs qui m’attendant) TvT 

Attention elle n’as pas une historie toute tranquille comme un petit ruisseau mais plutôt un fleuve agiter. 
Âme sensible s'abstenir ! 
Croyais pas que c’est parceque je ne l’aime pas qu’elle un bac story comme ça je l’aime trop ma petite Esperencia 

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- Ma chérie ? 

Je relève ma petite tête de mon livre d’images. 

- Oui maman ?! 

- Il me manque des clair-de-lunes pour le repas, tu veux bien allez m’en chercher ? 

- J’y vais !

D’un bond, je saute hors de mon lit et me dirige vers la sortie, attrape mon manteau, traverse la cuisine où s’active maman aux fourneaux. Elle a relevé ses beau cheveux mauve miroitant en un chignon haut et porte un tablier au-dessus de sa robe. D’un pas, je me glisse par la porte de derrière et arrive à l’entrée du bois. Du haut de mes 4 ans, je connais déjà le petit hameau par cœur tous comme mes parents. De plus grâce au collier localisateur que mes parents me font porter, je ne risque pas d’être perdue bien longtemps si jamais ça arriver. 

Je me dirige vers la petite clairière au centre du bois où pousse les clair-de-lunes en sautillant tous en écoutant le chant mélodieux et complexe des oiseaux.Puis me stop nette en voyant deux inconnus dans la clairière éclairé par les doux rayons du soleil. Dans le village, tout le monde se connaissait et eux, c’étaient des étrangers. Je reste figée un moment jusqu’à ce que l’un d’entre eux ne surgisse derrière moi. Un frisson parcourt mon corps sous la surprise. Une femme se penche par-dessus mon épaule, elle a des cheveux rouges très épais et onduler qui encadre un visage aux yeux noir. Elle me sourit chaleureusement, je me détends et lui rend son sourire.

- Trop chou ! 

Elle prononce cette phrase en même temps qu’elle m’attrape gentiment la joue.

- Comment t’appelle tu ma mignonne ? 

- Esperancia ! 

- Quel joli prénom, tes parents ont bien choisi. Dis-moi Esperencia sais-tu où l’on pourrait trouver de la douce-vive ? 

- Oui, bien, sûr suivez moi. 

Je me dirige d’un pas sûr dans une zone un peu plus à l’ouest de la clairière en vérifiant que les 2 messieurs à la carrure impressionnante ainsi que la belle dame. 

J’arrive au buisson de douce-vive et me penche afin d’en récupérer les fruits sans me blesser aux piques des feuilles. Je trébuche comme si l’on m’avait poussé dans le dos et m’écorche les bras dans les épines de la douce-vive. Je retiens mes larmes, il ne faudrait pas que je pleure à grosses larmes devant ces gens. Moi qui voulais les impressionner surtout la gentille dame, c’est rater. J’irais pleurer dans les bras de maman dès que je serais rentré. Je me relève toute tremblante et sursaute lorsque l’elfe aux cheveux rouges se penche et essuie mes écorchures avec un morceau de tissus. Je baragouine un remerciement tandis qu’elle tend le morceau de tissus à l’un des hommes qui le place dans une boîte. Je fais mine de m’écarter afin de rentrer à la maison, mais deux mains forte m’immobilisent. La femme attrape la boîte des mains de l’autre elfe tandis que je me débats. Mes yeux s’écarquillent de terreur lorsque la boîte s’illumine de différentes couleurs et qu’un sourire terrifiant naquis sur son visage encadré de cheveux rouge comme le sang. On m’arrache mon collier localisateur. Je hurle de toute mes forces et voie les oiseaux taire leurs chants et s’envoler. Une main se plaque sur ma bouche avec force. Je me débats encore plus en vain. Un voile tombe sur mes yeux et je sombre dans l’inconscience. 

Lorsque j’ouvre à nouveau les yeux, je me trouve dans une salle sombre ou la seule source de luminosité provient d’un rayon de lumière qui se fraye son chemin depuis le dessous de l’unique porte. D’autre enfant son entasser avec moi sur le métal froid et sale de la pièce. Je reconnais deux autres enfants de mon village que je connais seulement de vue les autres me sont tous inconnus. L’âge varie entre 3 et 6 ans, certains sont endormis, d’autres non, il y a des filles et des garçons provenant tous de différents endroits. Le seul point commun leurs regards terrifiés. Je repère un coin où son entasser des corps de jeunes elfes comme endormi et tressautes en comprenant qu’il s’agit de cadavres. La révélation me secoue, mais mes yeux sont lourds, je dois encore être sous l’effet de leur produit étrange. Je lutte, mais retombe bien vite dans le pays des songes. 

Lorsque je rouvre les yeux, les deux hommes de la clairière sont là, je ne l’avais pas vu à cause de leur capuche rabattue, mais ils s’agit d’elfes noirs. Ils prennent un jeune elfe, il ne doit pas être beaucoup plus vieux que moi. Celui-ci se débat faisant voler, ses boucles orange ternir par la poussière. Ses larmes coulent tandis que les autres enfants présents détours du regard une expression atterrée au visage. Je ne comprends toujours pas ce qui se passe ici lorsque tous les enfants se lèvent et suivent quatre autres hommes, ceci, je ne les connais pas… On nous guide dans une salle et nous enferme dedans. Certains éclatent en sanglots, d’autre tape à la porte que l’on vient de fermer dernière nous. Je vois les gardes de tout à l’heure se placer à une vitre qui fait la dimension entière de l’un des murs. L’un d’entre eux souris en appuyant sur un bouton tandis qu’un autre détourne du regard les derniers eux semble impassible. Un cri retenti. 

- L’eau 

Je me retourne vers la voix et effectivement de l’eau se déverses à torrent d’une trappe. Je laisse échapper dans un soupir.  

- Mais que se passe-t-il ?

Un des enfants sûrement l’un des plus âgés me répond 

- Ah, tu dois être la nouvelle, c’est une épreuve. Ils nous forcent à affronter les différents éléments avant de faire une dernière expérience sur ce qui ont survécu jusque-là. Ils ne nous sont jamais revenus vivants. Tu sais ce qui nous attend maintenant. Je tressaille, dans quoi suis je donc atterrit. L’eau m’arrive maintenant à la taille et il ne lui faut pas longtemps avant qu’elle ne m’arrive au coup puis me submerge. Je remonte à la surface, me rapprochant dangereusement et toujours plus vite du plafond. Puis viens le moment où il n’y avait plus d’air. Mes poumons me brûlent, je deviens les silhouettes des autres enfants autour de moi dans l’eau. Ma vue se trouble soudain, je me sens aspiré. Une énorme bouche couverte du grillage s'est ouverte à nos pieds et nous aspire bien trop vite. Je m’écrase contre un corps. Ça fait mal. Je tente de me relever les jambes flageolantes, mais on me donne un coup dans le dos et je vole sur deux bons mètres avant de m’écraser à nouveau au sol m’écorchant les avant-bras sur toutes leurs longueurs. Je me retourne et découvre l’un des gardes à l’endroit où jetait juste avant autour de moi tout le monde se fait pousser vers la porte par les gardes. Je veux, je dois retourner voir si cette enfant, contre lequel je suis atterri, est toujours en vie pour aller l’aider. Mais une main m’attrape le poignet et me tire. Je n’ai pas la force de lutter, je me laisse donc entraîner vers la sortie par l’elfe aux cheveux gris qui m’avait expliqué la situation.